Passage en ville de la cité d'Astripolis

Bonsoir !

En ce jour d'après fête, nous souhaitons passer un nouveau cap dans l'évolution de notre cité principale. En effet, notre souhait serait de faire passer Astripolis au stade de ville. Avant de vous montrer à quoi ressemble notre belle cité, voici le RP !


Jour 21

Cela fait longtemps que je n'ai pas écrit dans mon carnet ; je suis trop occupé pour ce faire... Je devrai peut-être le confier à quelqu'un d'autre, il s'agit tout de même de l'Histoire d'Astripolis ! Et puis, je n'ai pas que ça à faire, d'écrire dans ce livret et de m'occuper de la ville, en tant que Fantassin connu et reconnu de tous, je me dois de me préparer à toute attaque. Et sans entraînement, je ne suis rien... J'espère simplement que mon prochain tiendra ces notes, et cette ville, aussi bien, voir mieux que je l'ai tenue.


A ces mots, l'homme referma son livre, et le rangea sous son oreiller, avant de s'endormir.

Le lendemain avaient lieu les présentations des personnes voulant prendre Astripolis en main. Seul un homme brun assez grand monta sur l'estrade, et présenta ses opinions, ses projets. La foule l'acclama : il était ainsi devenue dirigeant de cette belle nation. Dans la soirée, alors que tous les habitants s'étaient réunis autour d'un buffet pour célébrer leur nouveau chef, le guet descendit de sa tour en hurlant : « Vite ! Rentrez chez vous, protégez-vous, l'ennemi arrive ! Miliciens, à vos armes ! ». Cet homme, avec ces paroles, avait semé la terreur dans la ville. Les villageois couraient dans tous les sens, pour trouver une cachette digne de supporter une attaque foudroyante de l'ennemi.
Les Miliciens prirent leur courage à deux mains. Ils se postèrent devant la porte, qui était pour le moment fermée, puis quand ils entendirent les ennemis sortir de leur bateau, l'un des Epistopiens ouvrit la porte et donna le signal. Ils coururent, en brandissant leurs épées et leurs arcs, vers ces hommes qui venaient saccager leurs terres. Mais les miliciens d'Astripolis, bien qu'ils soient de valeureux combattants, étaient en infériorité numérique. La bataille fut dévastatrice. De nombreux hommes avaient trouvé la mort, plus de la moitié étaient d'Epistopia... Les Anthémiens avaient réussi à entrer dans la ville, et en avaient profité pour y laisser un homme possédant une jambe articulée qui les bloquait plus qu'autre chose. Cette homme, une fois lâché dans la ville, diffusait une épaisse fumée verte qui avait pour but de tout détruire, aussi bien les habitants que les constructions. Astripolis mourut cette nuit-là, et peu d'habitants y avaient survécu. Seule une dizaine de personnes était parvenu à fuir.

Une semaine passa, le chef de Nation, Darlok, commença à douter de lui. Il n'avait pas su protéger sa ville, et ses habitants, et ce, dès son premier jour de fonction. Etait-il fait pour gérer une ville ? Qu'allait-il devenir ? Que pensaient les survivants de lui ? Une centaine de questions sans réponses lui taraudaient l'esprit. Mais très vite, il reprit du poil de la bête. Il était issu d'une famille de noble, famille de « sang bleu », et cette famille possédait des terres immenses. Alors une idée lui vint : il allait refonder sa propre ville, avec l'aide de ceux qui l'accompagnaient, en l'honneur d'Astripolis.

Ils partirent de l'endroit où ils s'étaient réfugiés après l'attaque pour aller sur les terre de ce chef. Le voyage dura longtemps, si bien que deux hommes, par manque de nourriture, perdirent la vie. Il fallait au plus vite qu'ils arrivent à destination, Darlok ne pouvait se permettre de perdre un citoyen de plus. Deux nuits plus tard, ils firent un campement, sur l'endroit qui allait devenir la nouvelle « Astripolis ». En tant que chef, il possédait une tente assez grande. Détestant la solitude, il désirait avoir de la compagnie et appela donc Dayn, grande amie, peut-être même plus, à ses yeux. Ces deux jeunes gens s'étaient rapprochés depuis peu. Ils se connaissaient depuis longtemps ; forcément ils vivaient dans la même ville, mais depuis qu'Astripolis était morte et qu'ils s'étaient enfuis, ils étaient presque devenus inséparables. Alors que la nuit était censée être faite pour dormir, ces deux-là travaillaient sur les plans de la future ville. Ils voulaient rendre honneur à Astripolis, mais sans la copier. Darlok imaginait des choses, il le disait et Dayn les dessinait. La future ville serait en grande partie faite en bois, pour rappeler Astripolis, mais ils y ajouteraient des pierres, histoire de la rendre plus solide.
Dès le lever du soleil, ils décidèrent de retourner voir ce qu'il restait de leur défunte ville. Ils laissèrent à leurs camarades de quoi vivre pendant leur séjour, si on peut appeler ça comme ça.
Après un peu plus d'une semaine, ils furent sur les lieux, où seul le paysage était resté intacte. Il n'y avait plus aucunes constructions. Seuls des corps sans vie peuplaient cette plaine. L'air y était respirable. Au diable les terres de la famille de Darlok, ils voulaient revenir s'installer ici. Ils se mirent à camper, après avoir envoyé une colombe pour faire parvenir un message à leurs amis. Ces derniers furent aux côtés de Darlok et Dayn quelques semaines plus tard.
Dès que toute la troupe fut réunie, Darlok exposa ses projets de reconstruction aux villageois et tous se mirent au travail. La ville se construisait doucement,mais à chaque pierre, ou planche posée, elle s’embellissait de plus belle.

Dayn

Si vous avez eu le courage de lire ce RP, votre petite récompense sera les screens.


Une vue d'ensemble de notre cité :





Voici une vue plus détaillée de nos différents bâtiments permettant un travail plus efficace de nos différents corps de métier :

• La forge

• L'atelier de l'enchanteur

• La teinturerie

Enfin, voici les différents bâtiments et lieux d'administration, de loisirs et de culture.

• La caserne

• Le parc

• L'école

• La banque

• Le palais de justice

• La mairie

Mesdemoiselles, Messieurs,
Merci de prendre en compte notre candidature.

La cité d'Epistopia.

(attention ce message n'a rien a voir avec le sujet -.-
GG pour la construction de la ville en 1 semaine ! )

(celui la non plus)

C'est la semaine ou je suis pas la que la ville evolue vite ... bizard nan ?

(ceci est une ouverture a tout foutage de gueule sur ma personne)